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Munafa ebook

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Read Ebook: La chanson de la croisade contre les Albigeois by Tud Le Guillaume De Audiau Jean Translator

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Ebook has 281 lines and 27220 words, and 6 pages

, les bourgeois et les chevaliers qui s'y trouvent, les dames et les damoiselles, tous, ? l'envi, se h?tent de sortir, n'ayant pour tout v?tement que chainse ou que braies, car on ne leur laissa de rien autre la valeur d'un bouton. Les uns s'en vont ? Toulouse, d'autres en Aragon, d'autres en Espagne, ceux-ci en aval, ceux-l? en amont. Les crois?s entrent librement dans la ville, occupant la salle, les tours et les donjons; ils font un tas de tout le butin pr?cieux, et distribuent comme ils l'entendent les chevaux et les mulets, dont il y a grande abondance.

Sous-v?tement de toile, sorte de chemise.

La grande salle du ch?teau.

Vaines pr?dications.

Le comte Raimon de Toulouse, ne pouvant obtenir de l'abb? de C?teaux l'absolution qu'il lui demande, se rend aupr?s du Pape, et, d?s son retour, livre ? Simon de Montfort le Ch?teau Narbonnais.

A Toulouse entra l'abb? de C?teaux: fort s'en ?tonn?rent vieux et jeunes, et m?me les petits enfants. En pr?sence de tout le peuple, le comte leur livra le Ch?teau: personne n'en vit jamais en plaine de si beau! Ils ont ? ce sujet fait mainte charte, maint bref et mainte lettre scell?e que l'abb? transmit par le monde, jusqu'au Mont Gibel. Le roi d'Aragon vint le trouver du c?t? de Muret, et s'entretint avec les seigneurs abb?s, dans une prairie, ? Portet; mais ils n'aboutirent ? rien qui vaille l'anneau d'une m?chante boucle.

L'Etna.

L'?v?que de Toulouse, Folquet de Marseille,--qui n'a son pareil en prix,--et l'abb? de C?teaux tiennent conseil. Chaque jour, ils pr?chent le peuple, lui reprochant de ne point se r?veiller; ils s'?l?vent l'un et l'autre contre le pr?t et l'usure. Par tout l'Agenais, les gens sont tellement entach?s que l'abb? chevaucha jusqu'? Sainte-Bazeille! Mais les habitants ne se mettent dans l'oreille rien de ce qu'on leur pr?che; ils disent, au contraire, en se moquant: <> Aussi ne serai-je point surpris, sur ma foi, si on les tue, les vole, les d?pouille, si c'est par la force qu'on les rend sages.

Folquet de Marseille, ayant renonc? ? la po?sie, s'?tait retir? ? l'abbaye de Toronet, dont il devint abb? apr?s 1201; il fut, en 1205, ?lu ?v?que de Toulouse.

Les bourgeois de Toulouse, ceux de la confr?rie, et les bourgeois du Bourg discutaient chaque jour; mais ? la fin, ils n'arriv?rent ? rien qui val?t un gland ou une pomme pourrie. Les partisans des h?r?tiques, ceux qui sont li?s avec eux, disent que l'?v?que, l'abb? et les clercs les font se quereller entre eux, pour que, par cette folie, ils se d?truisent les uns les autres; car s'ils ?taient unis, tous les crois?s du monde ne leur sauraient nuire. Elle fait entendre ces paroles au comte et ? ses compagnons, la gent folle et n?faste qui s'est ralli?e ? l'h?r?sie! Ils verront bien un jour quel conseil leur ont donn? ces gens que Dieu maudisse! A cause de cela, tout sera mis ? mort, le pays sera d?vast?, ravag? et d?sol? par la gent ?trang?re, car les Fran?ais de France et les barons de Lombardie, tout le monde leur court sus, et leur porte haine plus grande qu'? la gent sarrasine.

Prise de Termes.

A l'entr?e du printemps, Simon s'empare de Minerve, o? il br?le <>; puis, ayant confi? Carcassonne ? Guillaume de Contre, les crois?s viennent assi?ger Termes.

Raimon de Termes ne les prise pas un bouton, car je crois qu'on ne vit jamais plus fort ch?teau. L?, les crois?s pass?rent les f?tes de la Pentec?te, de P?ques, de l'Ascension, et la moiti? de l'hiver, ? ce que dit la chanson. Jamais on ne vit garnison si puissante que celle qu'il y eut en ce ch?teau du Roussillon, du c?t? de l'Aragon et de la Catalogne. On fit l? mainte joute, on y brisa maint ar?on, et maint chevalier et maint Braban?on y moururent, mainte enseigne et maint riche gonfanons y furent perdus, que les assi?g?s plant?rent de force l?-haut sur le donjon malgr? ceux de l'ost, qu'ils le voulussent o? non. Ni mangonneaux ni pierri?res ne font ? ceux de Termes la valeur d'un bouton de dommage: ils ont assez de vivres, viande fra?che et porc sal?, vin et eau pour boire, et pain ? foison. Si Dieu ne leur envoie quelque m?chef, jamais on ne les vaincra!

Voulez-vous savoir, Seigneurs, comment Termes fut pris, et comment J?sus-Christ y fit grand miracle? L'ost demeura ? l'entour jusqu'? ce que, au bout de neuf mois, l'eau ayant tari, les assi?g?s en manqu?rent. Ils avaient bien assez de vin pour deux ou trois mois; mais je ne crois pas qu'on puisse vivre sans eau. A ce moment, tomba une grande pluie, un grand d?luge dont mal leur advint: dans des tonnes et des bassins, ils recueillirent beaucoup de cette eau, dont ils se servirent pour p?trir et pour pr?parer leurs aliments. Ils furent pris alors d'une telle dyssenterie qu'ils en perdaient la t?te et r?solurent de s'enfuir plut?t que de mourir ainsi sans confession. Ils ont mis les dames de la ville dans le donjon, et, quand vint la nuit noire, sans que personne s'en aper??t, ils sortirent du ch?teau, n'emportant, je crois, d'autre bagage que des deniers.

Alors Raimon de Termes dit qu'on l'attend?t, qu'il retournait l?-bas. En chemin, les Fran?ais le rencontr?rent et le men?rent aupr?s du comte fort. Les autres, Catalans et Aragonais, s'enfuirent pour ?viter d'?tre tu?s. Mais le comte de Montfort montra grande courtoisie, car il ne prit pas aux dames la valeur d'une pougeoise, ni d'un denier monnay?.

Petite monnaie frapp?e au Puy.

Le Parlement d'Arles.

Apr?s la prise de Termes, les crois?s tiennent d'abord deux parlements ? Saint-Gilles et ? Narbonne, puis un troisi?me ? Arles.

L?, les crois?s font ?crire sur une charte le jugement qu'ils donneront au comte , qui attend dehors avec le roi d'Aragon, par un froid vif, en plein vent. L'abb? le lui remet, en pr?sence de tout le monde, de ma?tre Th?zis qui est avec lui, le meilleur et le plus savant clerc qui soit au monde, en pr?sence de l'?v?que d'Uz?s, et de cent autres clercs. Quand le comte a la charte en main, il appelle secr?tement l'?crivain, et quand il l'entend, l'?crivain la lui ayant lue bien lentement, il mande, plein de tristesse et de ressentiment, le roi d'Aragon: <> Le roi la fait relire aussit?t, et quand il l'eut entendue, il dit simplement, avec calme: <> Le comte, tout pr?occup?, tellement qu'il en n?glige de prendre cong?, s'en va vers Toulouse aussi vite qu'il peut, la charte ? la main... Il la fait lire partout, pour que la connaissent clairement chevaliers, bourgeois, et pr?tres qui chantent messe. Elle dit que le comte devra observer la paix, renvoyer les routiers, rendre leurs droits aux clercs, qui seront ma?tres souverains de tout ce qu'ils lui demanderont, mettre hors de sa protection les juifs, et livrer les h?r?tiques qu'on lui d?signera ? la discr?tion des crois?s. Le comte et les siens ne devront ni manger plus de deux viandes, ni v?tir d?sormais riches tissus, mais plut?t grosses capes brunes, qui leur dureront plus longtemps; ils d?truiront ch?teaux et forteresses, et jamais plus chevalier ne r?sidera en cit?, mais ? la campagne, comme font vilains. Ils ne percevront plus sur les chemins d'autres p?ages que ceux anciennement ?tablis, et donneront chaque ann?e quatre deniers toulousains aux <> ?tablis par les crois?s; les usuriers renonceront au pr?t ? usure et s'ils ont fait quelque gain, ils le rendront tout d'abord; si le comte de Montfort ou les crois?s chevauchent sur les terres du comte de Toulouse, et prennent des biens lui appartenant, on ne devra point s'y opposer. Il faudra se conformer en toutes choses ? la volont? du roi de France; enfin le comte passera la mer jusque vers le Jourdain, restera l?-bas tout le temps qu'exigeront les moines ou les cardinaux de Rome ou leurs commettants, puis il devra entrer dans l'ordre du Temple ou dans celui de Saint-Jean. Quand il aura fait cela, ses ch?teaux lui seront rendus, et s'il ne le fait pas, on le chassera de partout, si bien qu'il ne lui restera rien.

Les hommes de la terre, chevaliers et bourgeois, en entendant la charte qui leur est lue, disent qu'ils aimeraient mieux ?tre tous tu?s ou faits prisonniers que de souffrir cela, et qu'ils ne le voudraient faire pour rien, car ils ne seraient plus alors que des serfs, des vilains ou des paysans. Les bourgeois de Moissac, et ceux d'Agenais disent qu'ils fuiraient par eau en Bordelais plut?t que d'avoir pour seigneur Barrois ni Fran?ais, ou bien qu'ils s'en iraient, si le comte le veut, se fixer avec lui o? il lui plairait. Le comte les en a fort remerci?s; il a fait ses lettres scell?es, et les a envoy?es ? tous ses amis.

Un ?pisode du si?ge de Toulouse.

Au printemps, les crois?s, apr?s avoir soumis de nombreux ch?teaux, passent l'Hers pr?s de Montaudran et mettent le si?ge devant Toulouse; mais les assi?g?s, malgr? l'opposition du comte de Toulouse, tentent une sortie.

Il ?tait pr?s de tierce lorsqu'ils sortirent; ceux de l'ost venaient de d?ner quand les Toulousains les attaqu?rent; mais le comte de Montfort n'avait pas voulu se d?sarmer, et la plupart des barons de l'ost n'avaient point d?pos? le haubert; aussi sautent-ils prestement sur leurs destriers. A cette rencontre, vous auriez vu frapper de part et d'autre tant de coups d'?pieu sur les heaumes retentissants, mettre en pi?ces, fendre et rompre tant d'?cus que vous auriez cru ? la fin du monde. Sans mentir, les Toulousains tu?rent Eustache de Caux au moment o?, quoiqu'il f?t hardi, il allait s'en retourner aupr?s des siens.

Grand fut le combat lorsque les Toulousains et les Navarrais se jet?rent sur l'ost. Alors vous auriez entendu les Allemands pousser de grands cris: la plupart criaient: <> Au passage d'un pont, les Toulousains port?rent ? Eustache de Caux un tel coup d'une lance de fr?ne au gonfanon vair, que le pr?tre ne put arriver ? temps pour l'administrer, lui donner p?nitence et le confesser. Mais il n'y avait pas deux jours qu'il avait re?u le sacrement de p?nitence: je crois donc que J?sus-Christ lui voudra bien pardonner.

Quand les Fran?ais s'en aper?oivent, ils vont tous ? son aide; mais les f?lons soudoyers, lorsqu'ils voient ceux de l'ost accourir en masse, se mettent ? fuir, car ils savent bien qu'ils ne pourraient tenir contre eux. Ils n'ont pas grande peine ? emporter ce qu'ils ont conquis: ils n'ont fait que tuer un homme dont beaucoup pleurent la mort, car il ?tait fort puissant, et de tr?s haute condition. Ses hommes ont fait porter son corps en sa terre, o? ils voudront l'enterrer avec les honneurs.

Le matin, ? l'aube, quand parut le jour clair, ceux de l'ost, apr?s avoir, quinze jours durant, fait couper les vignes, se mettent ? plier tentes et pavillons, car, ? ma connaissance, ils veulent changer d'endroit; les vivres sont trop chers, et ne leur peuvent suffire: un pain, pour un petit d?jeuner, vaut bien deux sols, et, sans les f?ves et les fruits des arbres , ils n'auraient rien ? manger.

Ils envahissent les terres du comte de Foix, y s?journent longuement, puis, au d?clin de l'?t?, <>, ils se s?parent. Le comte de Toulouse convoque aussit?t ses sujets et ses fid?les; mais Simon de Montfort les met en d?route ? Castelnaudary.

Avant que la guerre soit termin?e, maint coup sera donn?, mainte lance bris?e; maint gonfanon neuf se dressera par les pr?s, mainte ?me sera jet?e hors du corps, et mainte dame veuve ruin?e. Le roi Pierre d'Aragon se met en route avec toute sa mesnie; il a mand? toute la gent de sa terre, si bien qu'il a rassembl? grande et belle compagnie. A tous il a dit et d?clar? qu'il veut aller ? Toulouse combattre la croisade qui d?vaste et d?truit tout le pays. Le comte de Toulouse a implor? sa merci pour que sa terre ne soit ni ravag?e ni br?l?e , car il n'a tort ni faute envers personne n?e. <>.

El?onore d'Aragon, en 1200.

Sancie d'Aragon, en 1241.

Prise de Pujols et bataille de Muret.

<> Tous r?pondirent: <>. L?-dessus ils se s?parent, et vont faire leurs pr?paratifs.

Le comte Raimon pense, entre temps, ? reconqu?rir Pujols. Les capitouls adh?rent ? son projet et convoquent les habitants de Toulouse dans les pr?s de Montaudran. La proposition du comte est accueillie avec enthousiasme.

Petit ch?teau fort aux environs de Toulouse, dont on n'a pas exactement d?termin? l'emplacement: il y a deux villages de ce nom pr?s de Toulouse: l'un d?pendant de la commune d'Escalquens, l'autre de la commune de Sainte-Foy d'Aigrefeuille. Aug. Molinier se prononce en faveur du dernier nomm?.

Les soudoyers fran?ais sont entr?s ? Pujols, et le puissant comte de Toulouse a investi la place; avec lui ?taient le comte de Foix, le preux Rogier Bernart, le comte de Comminges, les Catalans que leur a laiss?s le roi , et le peuple de Toulouse, chevaliers, bourgeois, et le commun, qui vint en h?te. Le premier qui parla fut un sage homme de loi, fort bien emparl?, qui faisait partie du conseil de la ville: <>

L'ost, en toute h?te, court ramasser des mat?riaux; il n'y a chevalier, bourgeois ni sergent qui n'apporte sans tarder un faix de branches; ils jettent le tout dans les foss?s et les emplissent si bien qu'ils atteignent le pied de la muraille qu'ils se mettent ? creuser avec les grands ferrements. Les Fran?ais se d?fendent et jettent du feu ardent, de gros moellons, des pierres, puis de l'eau bouillante; ceux de dessous, quand ils la sentent s'?loignent en se secouant, et se disent l'un ? l'autre: <> Les archers lancent sur eux tant de fl?ches que nul Fran?ais n'ose se montrer, de crainte d'?tre bless? par la joue ou par les dents, et les pierri?res leur font tant de mal que nul ne peut se tenir sur les courtines sans ?tre renvers? ou oblig? de s'en aller tout sanglant ou mortellement bless?, sans espoir de gu?rison. Galeries ni parapets ne leur servent de rien! Les chevaliers de Toulouse crient ? haute voix: <> Aussit?t ils s'emparent de la place et des maisons, o? il ne reste aucun fran?ais, pauvre ou riche, qui ne soit pris. Les uns sont pass?s au fil de l'?p?e, les autres pendus, sans r?mission.

Entre temps Pierre d'Aragon est arriv? ? Muret, o? le comte de Toulouse et ses gens vont le rejoindre. La ville est bient?t prise, et les Fran?ais qui l'occupent doivent se r?fugier dans le donjon; mais le roi persuade alors aux Toulousains d'?vacuer la ville, et d'y laisser entrer les troupes de Simon: de cette fa?on, on pourra s'emparer de tous les crois?s. Le lendemain le roi r?unit ses compagnons:

--<>

Le comte de Toulouse se mit alors ? parler: <>

--<>--<>

Les Toulousains essayent vainement d'entrer dans Muret et regagnent leur camp, o? ils se mettent ? d?ner; mais Simon donne ? ses troupes l'ordre de sortir en armes et il les harangue ainsi:

--<>--<> Alors l'?v?que Folquet les b?nit, et Guillaume de la Barre les disposa en trois corps, toutes les enseignes en t?te.

Tous vont droit vers les tentes, ? travers les marais, enseignes d?ploy?es et pennons au vent. Des ?cus, des heaumes dor?s, des hauberts et des ?p?es reluit toute la place. Le bon roi d'Aragon, quand il les aper?ut, se dirigea vers eux avec quelques compagnons; et ceux de Toulouse y sont tous accourus, car ils ne crurent ni roi ni comte. Tout ? coup, sans qu'ils se soient dout?s de rien, les Fran?ais arrivent et se dirigent tous vers l'endroit o? le roi avait ?t? reconnu. Il s'?crie: <> Mais on n'y prit pas garde, et il fut si malement frapp? et bless? que le sang se r?pandit sur le sol, et qu'il tomba raide mort.

Les autres, ? cette vue, se croient trahis; ils fuient de ??, de l?: nul ne se d?fend. Les Fran?ais les poursuivent, les taillent en pi?ces et les combattent avec tant d'acharnement que celui qui en r?chappe vivant peut s'estimer heureux; le carnage se prolongea jusqu'au ruisseau. Les hommes de Toulouse, qui ?taient demeur?s au camp, se tenaient tous ensemble en grande angoisse. Dalmatz de Creixell s'est jet? ? l'eau en criant: <> A ces mots, il est sorti de la Garonne, et les gens de Toulouse, grands et petits, ont couru vers l'eau tous ensemble; les uns passent, mais beaucoup y restent, car le courant, rapide en cet endroit, en a noy? bon nombre. Dans le camp est demeur? tout leur bagage...

La Louge, qui baigne Muret.

Grands furent le dommage, le deuil et la perte, quand le roi d'Aragon resta sur le champ de bataille, mort et sanglant, ainsi que bien d'autres barons. Ce fut grande honte pour toute la chr?tient? et pour le monde entier.

Le comte de Toulouse, conseille secr?tement aux capitouls de traiter avec Simon, cependant que lui m?me ira se plaindre au pape des violences dont il est victime.

Le Concile de Latran.

Devant le concile, le comte de Foix plaide sa cause et celle de son seigneur, le comte de Toulouse.

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