Read Ebook: Histoire des enseignes de Paris by Fournier Edouard Cousin Jules Contributor Jacob P L Editor Fournier Louis Douard Illustrator
Font size: Background color: Text color: Add to tbrJar First Page Next Page Prev PageEbook has 357 lines and 109777 words, and 8 pagesC'?tait la premi?re fois que les enseignes avaient ? se d?fendre contre une attaque aussi violente, car l'ordonnance de 1577, relativement aux enseignes d'h?telleries, qu'on soumit alors ? des r?gles fixes, n'avait pas m?me inqui?t? les marchands, qui professaient le plus souverain m?pris pour les h?teliers et aubergistes, lesquels ne faisaient partie d'aucune corporation. Les enseignes ne manquaient pas de protecteurs, qui obtinrent des concessions de la part du lieutenant de police La Reynie. La dimension des enseignes fut fix?e de mani?re ? ce qu'elles ne payassent aucun droit au fisc, quand elles ne d?passaient pas cette dimension uniforme et qu'elles ?taient appliqu?es solidement au mur. Quant aux enseignes saillantes, elles furent autoris?es, ou plut?t tol?r?es, ? condition qu'elles payassent le droit d'?tre suspendues, ? telle hauteur r?glementaire, au-dessus du pav? du roi. Les enseignes se veng?rent sur les auvents, qui furent d?s lors irr?vocablement d?truits; puis, elles reprirent petit ? petit leurs anciennes proportions, sous la tol?rance de la police, si bien qu'en 1679 elles avaient reparu aussi grandes qu'elles l'?taient avant l'ordonnance de La Reynie. Les marchands attachaient tant d'importance ? leurs enseignes, qu'ils pay?rent tout ce qu'on voulut, et les enseignes pendantes, dont la taxe continuait ? s'?lever, se gard?rent bien de venir se coller honteusement ? la muraille. Il n'y en eut jamais un plus grand nombre, et La Reynie signalait leur ?clatante r?apparition en 1688. L'autorit? ne fit qu'exiger un mod?le de potence plus solide, pour suspendre ces enseignes, et un droit plus fort, pour la permission qu'il fallait acheter ? prix d?battu. En m?me temps, la pose de toute nouvelle enseigne et le changement d'une enseigne ancienne donn?rent lieu au payement d'un droit attribu? au voyer. Le bureau de la voirie, qui modifiait ? son gr? les us et coutumes du r?gime des enseignes marchandes et immobili?res, exer?a toute esp?ce de vexations contre les propri?taires de ces enseignes. Les syndicats des corporations r?sist?rent et surtout protest?rent; mais, comme il s'agissait toujours de droits ? payer, les contraventions finissaient par des amendes et des indemnit?s au profit du voyer et de la voirie. Tout ?tait bon pour tirer de l'argent des enseignes; et quand, en vertu de l'?dit de 1696, Charles d'Hozier, juge d'armes, re?ut la mission de dresser le recueil g?n?ral des armoiries qui pouvaient ?tre port?es ou revendiqu?es en France, afin de les soumettre au payement d'un droit fiscal, une immense quantit? de propri?taires d'enseignes furent compris au nombre des gens ? armoiries, parce que leurs enseignes avaient arbor? des pr?tentions nobiliaires, ou simul? des armes de fantaisie, ayant plus ou moins un caract?re h?raldique. L'enseigne ?tait d?sormais un bon produit pour le fisc. Ces articles, si simples en apparence, donnaient pr?texte ? toutes sortes de difficult?s qui se traduisaient par des amendes ou par des exactions. Il n'y avait pas un changement d'enseigne qui n'amen?t des tracasseries non seulement de la part des commissaires de la voirie, mais encore de la part des voisins; car les tribunaux avaient d?cid? qu'une enseigne ?tant une propri?t?, nul ne pouvait la prendre dans la m?me ville, surtout si le commerce et la profession ?taient identiques chez deux concurrents qui se disputaient la m?me enseigne. De l? des querelles, des proc?s et des arbitrages. On ?tait bien loin de l'?ge d'or des enseignes, o? chacun ?tait libre de choisir et d'adopter l'enseigne qui lui plaisait, sans ?tre accus? de plagiat, de contrefa?on ou de concurrence malhonn?te, alors que chaque rue avait quelquefois deux ou trois enseignes semblables pour des m?tiers diff?rents. Il est certain, dans tous les cas, que les ordonnances de police, qui r?glaient d'une mani?re uniforme les dimensions de l'enseigne, furent appliqu?es avec la derni?re rigueur, car le docteur anglais Lister le constate en ces termes, dans le r?cit du voyage qu'il fit ? Paris en 1698: < Les auvents subsistaient encore, r?duits, il est vrai, ? des proportions restreintes, mais les enseignes saillantes ou pendantes ?taient d?finitivement condamn?es, d'apr?s l'avis des six Corps de marchands. < La jurisprudence des enseignes paraissait d?sormais ?tablie par l'ordonnance de M. de Sartine, ? laquelle s'?taient soumis tous les marchands et artisans. Il y eut cependant quelques contradicteurs et opposants, qui se refus?rent ? retirer les enseignes pendantes et saillantes, qu'ils regardaient comme une possession acquise depuis l'ancienne ordonnance de La Reynie et l'?dit du mois de mars 1693. On plaida, et longuement, ainsi que pour la plupart des proc?s de ce temps, et l'on est surpris de voir que le droit de voirie pour les enseignes fut fix? par un arr?t du Parlement, le 11 mai 1765, arr?t qui rappelait les anciennes ordonnances relatives aux grandes et petites enseignes, support?es par des potences et faisant saillie ? trois pieds du mur dans les grandes rues et de deux pieds et demi dans les petites. Le rappel de ces ordonnances impliquait seulement le droit de voirie, qui avait ?t? de 4 livres par chaque enseigne et qui fut maintenu au m?me taux, bien que les enseignes ne fussent plus saillantes et suspendues ? des potences. Nous croyons que ce droit de voirie a ?t? d? et pay? jusqu'? la r?volution de 1789. Au reste, les enseignes ?taient toujours autoris?es, approuv?es et m?me censur?es par la police. Cependant nous sommes ? peu pr?s s?r que, depuis 1789 jusqu'en 1800, la police avait autre chose ? faire qu'? s'occuper des enseignes. Elles n'ont pas ?t? n?anmoins oubli?es dans le Code civil: < < Nous ne pensons pas que cette ordonnance minist?rielle ait ?t? faite. ORIGINES DES ENSEIGNES EN FRANCE INSCRIPTIONS ET MONOGRAMMES ENSEIGNES DES MAISONS ET DES HOTELS Enseigne du logis ou h?tellerie, Chacun cherche et demeure ? la pluye. On peut, ce me semble, ?tablir une diff?rence notable entre les enseignes des maisons et celles des boutiques. Les enseignes des maisons ?taient ou devaient ?tre sculpt?es en pierre, ou model?es en terre cuite, quelques-unes contemporaines de la maison elle-m?me et ayant ?t? engrav?es au ciseau dans la muraille m?me au-dessus du fronton de la porte; elles ?taient g?n?ralement peintes ou dor?es. Les images ou statuettes reposaient sur des pi?destaux en pendentifs, ou s'abritaient dans des niches ogivales, plus ou moins ornement?es et fleuronn?es ? la mani?re du style gothique. Un tr?s petit nombre de ces images ?taient en m?tal, mais beaucoup sans doute en bois colori?. Il faut comprendre parmi ces enseignes les inscriptions et les monogrammes, qui ne figuraient pas seulement au-dessus de l'entr?e principale, et qui souvent se trouvaient r?p?t?s en diff?rents endroits de la fa?ade. Malheureusement, le Paris ancien ayant ? peu pr?s disparu, depuis soixante ? soixante et dix ans, par suite de la reconstruction des maisons, il est bien peu d'enseignes sculpt?es qui aient ?chapp? aux d?molisseurs. Nous avons remarqu? que, parmi les enseignes que nous laissons de c?t?, en recueillant les pr?c?dentes, quelques-unes portaient les noms de diff?rentes villes de France et de l'?tranger. Ces enseignes, ce nous semble, peuvent ?tre attribu?es ? des marchands, qui avaient signal? ainsi, soit le lieu de leur naissance, soit leurs rapports commerciaux avec les villes qui figuraient sur ces enseignes. Voici donc, ? titre de sp?cimens, quels sont les noms de ville qui avaient ?t? mis sur des enseignes, dans ces anciennes rues de la Cit? et du quartier du Louvre que nous venons de parcourir sous la direction du savant arch?ologue Adolphe Berty. NOMS DES RUES, PROVENANT DE LEURS ENSEIGNES On ne tarda pas ? s'apercevoir que l'emploi des plaques de t?le portant le nom des rues ?tait sujet ? bien des accidents. Ici, les gens du quartier, m?contents de ce qu'on avait donn? la pr?f?rence ? un nom qui leur plaisait moins qu'un autre, arrachaient ces plaques ou les mutilaient, en effa?ant le nom qu'elles portaient. L?, le propri?taire de la maison ? laquelle on avait attach?, sans son consentement, une plaque nominative, la faisait dispara?tre, sous pr?texte de faire r?parer, ou gratter, ou badigeonner cette maison. Le lieutenant g?n?ral de police crut devoir intervenir, et publia une ordonnance, en date du 30 juillet 1729, d?fendant d'endommager les plaques qu'on avait appos?es aux deux extr?mit?s de chaque rue, et enjoignant aux propri?taires des maisons o? ces plaques seraient attach?es, de faire mettre, en leur lieu et place, de grandes tables de pierre de liais, o? seraient grav?s en creux les noms des rues, dans le cas o? ces propri?taires auraient ? faire enlever lesdites plaques pour des travaux ? ex?cuter aux fa?ades de leurs maisons, ou bien si ces plaques avaient ?t? d?t?rior?es par quelque cause que ce f?t. Le continuateur de De La Mare constate, en 1738, que les propri?taires se pr?t?rent volontiers ? l'ex?cution de cette sage ordonnance et prirent m?me l'initiative de poser des plaques aux encoignures interm?diaires entre les deux extr?mit?s de la rue. Plusieurs de ces plaques sont aujourd'hui conserv?es au mus?e Carnavalet. Il y a quarante ans, on voyait encore, au coin de bien des rues de Paris, l'ancien nom grav? sur une pierre de liais encastr?e dans le mur de la premi?re maison de ces rues-l?, car, depuis que la rue avait eu son nom inscrit sur la pierre, avec approbation du lieutenant de police, personne n'avait plus song? ? changer ce nom officiel, si bizarre, si ?trange, si incompr?hensible qu'il p?t ?tre. Ces noms de rue s?culaires se trouvaient ainsi plac?s sous la sauvegarde de la tradition. Ce n'?taient pas l? les seules rues qui tirassent leurs noms des enseignes de maison ou de boutique, et l'on pourrait en citer un certain nombre d'autres qui sont ?videmment nomm?es par les enseignes, quoique la tradition se taise ? leur ?gard. Il ?tait aussi tout naturel que le nom de la rue, emprunt? ? une enseigne, ne surv?c?t pas ? cette enseigne quand celle-ci avait disparu. Voici encore quelques rues signal?es par J. de La Tynna comme ayant des noms qui provenaient ?galement des enseignes. La rue du Chaudron, dans le faubourg Saint-Martin, devait son nom ? une enseigne qui existait encore en 1816. Le passage de la Croix-Blanche, dans la rue Saint-Denis, ?tait ainsi nomm? ? cause d'une enseigne. La place des Trois-Maries, sur le quai de l'?cole, portait ce nom, d?s 1554, ? cause de l'enseigne d'une maison. Le passage de la Marmite, dans la rue des Gravilliers, avait le nom d'une enseigne, qu'on voyait encore, en 1816, rue Phelipeau, en face de ce passage. Le passage du Panier-Fleuri, dans le cul-de-sac des Bourdonnais, portait le nom de l'enseigne d'un marchand de vin voisin. La rue du Pot-de-fer, quartier Saint-Sulpice, devait aussi son nom ? une enseigne, comme une autre rue du quartier Saint-Marceau, laquelle avait pris, en 1586, le m?me nom, ? cause d'une enseigne analogue. Le passage et la cour du Puits-de-Rome, dans la rue des Gravilliers, ?taient ainsi nomm?s, parce que l'enseigne d'une maison voisine leur avait donn? ce nom-l?. C'est ainsi que, dans la rue Montorgueil, le passage du Saumon conserve encore le nom de l'ancienne enseigne de la maison qui lui sert d'entr?e. Amour m'a refait En 525 tout ? fait. ENSEIGNES SCULPT?ES, FORG?ES, ?MAILL?ES; ENSEIGNES EN PIERRE, EN BOIS, EN PLOMB, EN FER, EN TERRE CUITE, EN ?MAUX OU FAIENCE. soleil sont des raquettes, ce qui indique clairement l'existence d'un jeu de paume d?pendant jadis du d?bit de vin. Il y avait autrefois des enseignes ? figures en pl?tre et en terre cuite, mais elles n'?taient pas faites pour r?sister longtemps aux accidents de la vie parisienne. Les enfants s'amusaient ? les abattre ? coups de pierres. Les enseignes sculpt?es en bois et peintes au naturel faisaient meilleure r?sistance, mais la pluie et le soleil en venaient ? bout t?t ou tard, si l'on n'avait pas soin de les repeindre souvent pour les pr?server de la destruction. Il fallait peindre aussi les enseignes en fer, qui ne craignaient que la rouille. pour annoncer la boutique d'un marchand de fromages de la rue La Fayette, l'un et l'autre ayant des cadrans d'horloge dans le ventre, ils ont ?t? si bien peinturlur?s et dor?s, qu'on ne sait pas s'ils sont en pierre ou en zinc, et que nous les regardons comme des joujoux de Nuremberg taill?s en plein bois avec un simple couteau par quelque b?cheron artiste de la for?t Noire. Sous le r?gne de Fran?ois I??, les artistes italiens que le roi avait amen?s en France, et qui travaillaient pour lui ? l'h?tel de Nesle et au ch?teau de Madrid, eurent l'ing?nieuse id?e d'encastrer, dans l'architecture des ?difices qu'on faisait construire alors ? Paris et en province, des ?maux et des plaques de fa?ence repr?sentant des sujets, des embl?mes et des ornements. On employait aussi ces fa?ences ?maill?es au carrelage des galeries et des salles dans les ch?teaux et les h?tels. Il est ? peu pr?s certain que ce genre de d?coration fut appliqu? aux enseignes des marchands, puisqu'on avait fait entrer des inscriptions non seulement sur les grandes pi?ces de fa?ence encadr?es dans la pierre monumentale, mais encore dans les carreaux qui servaient au pavement int?rieur des maisons. Il ne s'est conserv? aucune de ces enseignes en fa?encerie, mais on peut voir au mus?e de Cluny quelques-unes des plaques ?maill?es qui d?coraient le ch?teau de Madrid, au bois de Boulogne. Sous le premier Empire, Napol?on avait fait venir d'Italie un groupe d'ouvriers mosa?stes, qui avaient entrepris de fabriquer des enseignes en mosa?que; mais ces essais, co?tant fort cher, furent peu appr?ci?s et ne trouv?rent pas de client?le. Plus tard, on rempla?a la mosa?que en petits cubes de verre ?maill?, par des mosa?ques en plus gros cubes de pierres de couleur, et l'on en fit des tableaux qu'on incrusta dans le dallage des trottoirs et des passages devant les boutiques. Ce furent les enseignes sur le sol, au lieu des enseignes sur les murs. Ces essais ont ?t? repris r?cemment sous les galeries du Palais-Royal. Ce n'?tait pas, du reste, une invention moderne, puisque des mosa?ques du m?me genre sont encore intactes, depuis dix-neuf si?cles, dans les maisons antiques d'Herculanum et de Pomp?i. ENSEIGNES D'ENCOIGNURE, OU POTEAUX CORNIERS >>La masse du poteau a la forme d'un grand arbre, duquel s'?l?vent des branches garnies de fruits. On voit plusieurs singes qui cherchent ? l'envi ? grimper autour, pour atteindre les fruits. Mais un vieux singe, tranquille et tapi au bas de l'arbre, pr?sente d'une main un des fruits que les jeunes ont fait tomber par les secousses qu'ils ont donn?es ? l'arbre. >>En parcourant les Fables de La Motte, on en trouve une sur le gouvernement ?lectif, dont la vue du poteau semble lui avoir sugg?r? l'id?e; nous n'en citerons que les derniers vers: On dit que le vieux singe, affaibli par son ?ge, Au pied de l'arbre se campa; Qu'il pr?dit, en animal sage, Que le fruit ?branl? tomberait du branchage, Et dans sa chute il l'attrapa. Le peuple ? son bon sens d?cerna la puissance: L'on n'est roi que par la prudence. Plaignons les vandales r?volutionnaires qui ne savaient pas ce qu'ils faisaient. Ils d?truisaient l? non seulement un monument unique des anciennes enseignes de Paris, mais encore la maison o? Moli?re ?tait n?, le 15 janvier 1622. ENSEIGNES DES CORPORATIONS, DES CONFR?RIES ET DES M?TIERS Voici maintenant quelles ?taient les principales corporations et confr?ries qui avaient des maisons ? enseigne: Saint Yves: les avocats et les procureurs.--Saint Antoine: les vanniers, les bouchers, les charcutiers et les fa?enciers.--Saint Michel: les boulangers et les p?tissiers.--Saint ?loi: les orf?vres, les bourreliers, les carrossiers, les ferblantiers, les forgerons et les mar?chaux ferrants.--Saint Laurent: les cabaretiers et les cuisiniers.--Sainte Barbe: les artilleurs et les salp?triers.--Saint Simon et Saint Jude: les corroyeurs et les tanneurs.--Saint Joseph: les charpentiers.--Sainte Catherine: les charrons.--Saint Cosme et Saint Damien: les chirurgiens.--Saint Cr?pin et Saint Cr?pinien: les cordonniers et les bottiers.--Saint Jacques: les chapeliers.--Saint Blaise: les drapiers.--Saint Gilles: les ?peronniers.--Saint Maurice: les fripiers et les teinturiers.--Saint Clair: les lanterniers et les verriers.--Saint Louis: les maquignons et les barbiers.--Saint Nicolas: les mariniers, les ?piciers.--Sainte Anne: les menuisiers, les tourneurs et les peigniers.--Saint Martin: les meuniers.--Sainte C?cile: les musiciens.--Saint Roch: les paveurs.--Saint Pierre: les serruriers.--Sainte Marie-Madeleine: les tonneliers.--Saint Vincent: les vinaigriers. Quelques m?tiers avaient mis leurs confr?ries sous les auspices de certaines grandes f?tes de l'?glise. Par exemple: les tailleurs c?l?braient leur f?te patronale ? la Trinit? et ? la Nativit? de la Vierge; les chandeliers et les ?piciers, ? la Purification; les couvreurs, ? l'Ascension; les r?tisseurs, ? l'Assomption, etc. CIT?. RUE DE LA JUIVERIE. Saint Pierre, 1455.--Saint Michel, 1600.--Sainte Catherine, 1503.--Saint Julien, 1575.--Saint Nicolas, 1519.--Saint Jacques, 1415.--Saint Pierre, 1430.--Saint Christophe, 1528.--Sainte Marguerite, 1502. RUE DE LA CALANDRE. Images Saint Marcel et Sainte Genevi?ve, 1507.--Saint Christophe, 1385.--Saint Nicolas, 1450. RUE DE LA LICORNE. Image Notre-Dame, 1525. RUE DE LA LANTERNE. Image Sainte Barbe, 1534.--Saint Yves, 1513. QUARTIER DU LOUVRE. RUE CHAMPFLORY. Image du Saint-Esprit, 1489.--Saint Nicolas, 1489.--Notre-Dame, 1575.--Saint Eustache, 1530.--Saint Julien, 1624. RUE DU CHANTRE. Image Sainte Anne, 1687.--Saint Claude, 1687.--Sainte Barbe, 1515.--Sainte Genevi?ve, 1603. RUE DU COQ. Image Saint Martin, 1440.--Saint Fran?ois, 1687.--Notre-Dame, 1687.--Saint Jacques, 1687. RUE FROMENTEAU. Image Saint Hugues, 1582.--Notre-Dame, 1427.--Saint-B?al, 1550.--Notre-Dame, 1567.--Saint Louis, 1491.--Saint Simon et Saint Jude, 1550.--Saint Jacques, 1700.--Saint Nicolas, 1477.--Saint Jacques, 1406. RUE SAINT-HONOR?. Image Saint Jean-Baptiste, 1489.--Saint Claude, 1637.--Saint Martin, 1378.--Saint Jacques, 1508.--Saint Jean, 1408.--Notre-Dame, 1489.--Sainte Barbe, 1530.--Saint Michel, 1439. Add to tbrJar First Page Next Page Prev Page |
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